« Le monde ne se réduit pas au monde organisé. » Une rencontre avec Alexandre Monnin, Diego Landivar et Emmanuel Bonnet, à @laMYNE_ , à partir de la théorie des organisations, et au prisme de l’anthropocene. pic.twitter.com/B5qt0Rd6RN
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
Selon le courant processuel : « L’organisation, c’est ce qui résiste à la mort. Cette approche inclue tous les types d’être vivant. L’organisation et le monde sont emmêlés. » pic.twitter.com/RKINLmi0Sp
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
Ces 3 approches de la théorie des organisations (tweet précédent) relèvent d’un vide stratégique mais aussi d’une acosmie (absence de monde) pic.twitter.com/YefOanmAg9
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
« Faire monde, c’est vivre en interdépendance. » Pierre Montebello. Cela implique, du point de vue de la théorie des organisations, que les humains ne sont pas « managers » ou « concepteurs » du monde.
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
Comment interroger les entreprises face à l’anthropocene, alors que l’entreprise est souvent associée à une création ou une émergence (d’un point de vue sémiotique). L’entreprise est une affaire de mains, de prise entre deux mains, de mise sous maîtrise, d’emprise. Diego Landivar
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
Du point de vue de l’homme, de ses mythes, l’origine du monde ne commence pas avec le sol mais avec un sujet. Le postulat de départ de la théorie des organisations est que le monde est désorganisé.
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
La question que l’on doit poser aux entreprises : comment voyez-vous le monde du point de vue géologique ? Il faut renvoyer à un « meta-climat des affaires », pour remettre en jeu la théorie des organisations, et renoncer ces présupposés. Diego Landivar
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
Rapport au monde (prise au sérieux de l’anthropocene) et Trajectoires d’action des acteurs (entreprises), par Alexandre Monnin, Diego Landivar et Emmanuel Bonnet. pic.twitter.com/Jp4wIUFp0Q
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
« Le forçage extractiviste perdure dans le monde de l’entreprise, et dans beaucoup de disciplines. Le design, avec les techniques d’ideation, fait perdurer un forçage des ressources, non plus de la matière mais des idées. » Alexandra Monnin
— Sylvia Fredriksson (@s_fredriksson) May 14, 2019
« Le véritable évangile des géants du numérique, consacré et encensé par les États, consiste à innover au nom de la conservation »