La Fin des cartes. Territoires révés, territoires normalisés. 13 novembre 2014

Le 13 novembre 2014 se tenait une journée d’étude en partenariat avec le Labex CAP, le CSTB, l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville et La fin des cartes, intitulé « La Fin des cartes. Territoires révés, territoires normalisés », dédiée à la cartographie sensible et aux projets urbains : expériences urbaines géolocalisées. Cartographies subjectives, navigations numériques et déambulations urbaines.

Présentation

Quelles approches sensibles des villes et de l’espace public sous le prisme notamment des interfaces numériques ?
La première partie de cette journée d’étude sera consacrée au design de cartes et d’interfaces, posant simultanément la question d’une expérience sensible des territoires. Il s’agira notamment de se demander comment les modes de représentation, qu’ils impliquent ou non des technologies numériques de type GPS, cartes satellitaires, modifient les pratiques urbaines et génèrent des modalités d’échange, de découverte et de flânerie singulières.

Programme

9h30 : Accueil

10h00-11h15
De quelles cartes sensibles parlons-nous ? Tentative de distinctions et pistes d’analyse, Pascal Ferren, chargé de projets, pOlau-pôle des arts urbains (Saint-Pierre-des-Corps, 37), Pôle de recherche et d’expérimentations sur les arts et la ville
– Géographies subjectives. Conception collaborative de cartes collectives, Margaux Vigne, Paysagiste DPLG, DPEA ENSA Paris-La-Villette, ENSP Versailles

11h15-11h30 : Pause-café

11h30-13h00
– 7 milliards d’urbanistes. Vraiment ?, Alain Renk, architecte urbaniste et programmiste, conseiller pour la Ville Numérique de l’Institut Mines Telecom, cofondateur et membre de l’agence R+P, du collectif host et d’UFO
– Création artistique et représentation cartographique : cas d’études sur les écrans mobiles, Dominique Cunin, Enseignant-Chercheur, EnsadLab, École Nationale Supérieure des Arts décoratifs de Paris

Territoires et projets urbains
Enjeux de la représentation de la ville sensible

La deuxième partie de cette journée sera consacrée à la représentation de la ville sensible. L’enjeu est d’interroger la prise en compte des dimensions subjectives, sensorielles, imaginaires, émotives dans la représentation des espaces urbains en projet.

14h30-15h45
Cartographie sensible et actions urbaines, Thierry Payet, artiste plasticien
Paysage perçu, vécu, imaginé : quelles représentations cartographiques ?, Hervé Duret, géographe, CSTB

15h45-16h00 : Pause-café

16h00-17h30
Quelles représentations des perceptions dans les maquettes numériques urbaines ?, Olivier Tournaire, géomaticien, CSTB
Le sensible et ses représentations spatiales en art et dans les SHS, Théa Manola, Architecte-Urbaniste, Chercheure, UMR CNRS LADYSS / CSTB

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